Confiance !!
Dans cet article je vais vous dire que même si on a pas confiance en soit on peut toujours y arriver quoi qu'il arrive.
Tout d'abord quand j'ai commencé l'équitation je n'avais pas confiance en moi. Pendant 2 ans je montais en ayant peur mais je voulais vraiment y croire.
Puis j'enchainais les cheveux et les juments mais aucun n'avait ce que qu'il me manquait.
puis 1 an apres une jument de 16 ans m'a apporté ce que j'avais réelment besoins. Elle m'a apporté sa gentillesse, sa vitesse, son énergie et son envie de compétition.
Histoire
L'équitation et, de manière plus générale, l'emploi du cheval revêtent de multiples formes, chasse, guerre, portage, traction. Cette diversité se manifeste de façon exceptionnelle et sur tous les plans.
À la fin du siècle, le capitaine italien Caprilli contribue à transformer l'équitation contemporaine. Il invente la monte en avant à l'obstacle, et la « méthode naturelle » qui laisse la libre disposition de son balancier tête-encolure au cheval, utilise la confiance réciproque et le laisser-faire.
En 1902, le premier championnat du cheval d'armes, ancêtre du concours complet est gagné par le capitaine de Saint-Phalle, et en 1912 à Stockholm, les trois disciplines équestres – dressage, concours hippique et military (futur concours complet) – figurent aux Jeux olympiques.
Équitation sportive et loisirs sportifs
Aujourd'hui, penser l'équitation en terme de sport n'est plus suffisant. L'évolution des comportements oriente vers les loisirs sportifs de nouveaux consommateurs dont le souhait est de faire du sport en s'amusant, sans long apprentissage et sans encadrement contraignant. Leurs aspirations ont peu de points communs avec les valeurs traditionnelles du sport liées à la performance, à l'effort et au dépassement de soi, et, dans le cas de l'équitation, dérivées des valeurs de la cavalerie.
Jusqu'à l'après-guerre, la représentation olympique équestre était en majorité militaire. Si, avant 1920, le sport est un passe-temps marginal, souvent réservé à un milieu aisé, le sport équestre reste une émanation de la cavalerie. Il sert, non à sélectionner le meilleur cheval et le meilleur officier, mais plutôt à faire en sorte que chevaux et hommes s'entraînent régulièrement et soient prêts à tous moments à assumer les contraintes d'une offensive moderne.
L'équitation recouvre alors différentes pratiques qui se retrouvent dans le milieu militaire comme dans les milieux aisés. Il est à noter l'interpénétration de ces deux mondes, les milieux aisés formant en grande majorité l'encadrement de la cavalerie.
Contrairement à d'autres pratiques, l'équitation n'a pas, en tant que sport, à chercher son identité sociale et culturelle. La création du système fédéral et des sociétés hippiques rurales permet de soutenir efficacement l'élevage face à l'abandon du cheval comme instrument de la victoire après la dernière épopée cavalière de la campagne d'Orient en septembre 1918 sous le commandant interallié du général, futur maréchal Franchet d'Espèrey.
Si la mécanisation de l'armée a condamné le cheval, le manque de moyens financiers a contribué à prolonger son utilisation jusqu'au milieu du XXe siècle pour les terrains d'opération inaccessibles aux véhicules motorisés. Bien qu'indispensables, les chevaux ne sont plus le centre de l'Arme. Néanmoins, après la Seconde Guerre mondiale, la compétition équestre reste un moyen de formation du cavalier militaire.
Maintenant autours de nos années
Le dressage est, en équitation, un art se définissant comme la mise en scène du couple cheval-cavalier. Il est issu de l'école d'équitation classique, mais a évolué au cours des siècles, influencé par l'équitation militaire puis sportive. Sa forme est différente de son ancêtre. Au plus haut niveau, le dressage est un sport international olympique. Historiquement, des principes tels que la légèreté, la décontraction, l'impulsion et l'amour du cheval sont considérés comme indispensables à l'atteinte de « la belle équitation », afin de l'élever au niveau de l'art. Le dressage incarne alors la représentation stylisée des mouvements gracieux du cheval. La forme la plus pure du dressage exige du cheval et du cavalier des années pour être maîtrisée. Lorsqu'un cheval est avancé dans sa formation, il peut exécuter non seulement les mouvements du Grand Prix de dressage, tels que le passage et le piaffer, mais aussi certains « airs au-dessus du sol »
L'incurvation est principalement utilisé en dressage équestre. Elle est souvent considérée comme un simple pli de l'encolure pourtant ce n'est pas une simple pliure. En effet, elle permet de mobiliser l'ensemble du corps du cheval, du bout du nez jusqu'aux hanches. L'incurvation exerce juste les muscles du postérieur intérieur et dans une moindre mesure ceux du postérieur extérieur : il faut donc pratiquer cet exercice aux deux mains. L'incurvation peut se travailler sur une volte (un cercle), sur une serpentine, sur un huit de chiffres, une demi-volte (un demi-cercle), etc. C'est-à-dire toutes les figures de manèges qui contiennent une ou plusieurs courbes.
L'obstacle est l'élément clé de cette discipline. Il se présente sous de nombreuses formes et couleurs.
Un obstacle est classiquement constitué de barres, de chandelles et de chandeliers pour supporter les barres, de soubassements. En concours, des fanions (rouge à droite, blanc à gauche) et un numéro d'ordre sont ajoutés, l'apparence est soignée avec des chandeliers décoratifs et des soubassements variés.
Les concours de saut d'obstacles servent à se mesurer aux autres. Ils sont, la plupart du temps le but de cette discipline, bien qu'il existe de nombreux cavaliers même professionnels qui ne font jamais ou très peu de compétition. En effet, il existe des cavaliers de saut d'obstacles dont l'activité consiste à monter les chevaux à l'entraînement pour les préparer pour d'autres cavaliers qui les monteront en compétition. On peut aussi pratiquer ce sport, pour son plaisir sans ressentir d'attrait pour la compétition.